Via Facebook, Instagram et mon Podcast, J’ai annoncé de gros changements dans ma façon de travailler.

Ces changements sont le résultat d’une longue réflexion, d’une prise de conscience. Si j’avais trouvé ma place en tant que Médium Tarologue, je sentais bien qu’une évolution était à prévoir, à plus ou moins long terme. Comme beaucoup, je me suis cherchée longtemps. Car une mission de vie, ça ne se trouve pas forcément en un jour, et ça n’a pas été le cas pour moi.

J’envie ceux qui sont nés en sachant où est leurs places ! Bien que je ne regrette rien de mon parcours, qui m’apprends tellement.
Répéter, durant mes consultations que ce n’était pas une mince affaire, n’était pas des paroles en l’air. Je savais bien de quoi je parlais, dans ces moments là. Rien que comprendre, il y a plusieurs années, que ma place était dans l’ésotérisme en tant que professionnelle, a été une galère sans nom. Savoir ensuite, ce qui me manquait et ce qui devait être changé, ne s’est fait qu’il y a quelques toutes petites semaines. Et quelques autres compréhensions datent de ce week-end !!

J’en suis à me demander ce que je vais comprendre encore, convaincue que j’ai encore du travail, un bien grand et long travail.

Le pourquoi.

Ces derniers mois, je me suis aperçue que si j’aimais mon travail, ma façon de le faire ne me convenait plus. J’ai fini par comprendre : Je ne veux plus répondre à des questions. Plus de la façon dont je l’ai fait jusque ici.

Je préfère le faire d’une autre façon, à travers une guidance plus profonde et personnelle. C’est en lien avec ce que j’ai écrit il y a quelques minutes : Un chemin ne se trouve pas facilement.

Répondre à une question fermée, bien que ça ne soit en aucun cas inutile, me semble aujourd’hui très insuffisant, par rapport aux résultats que je vise, au terme d’une consultation.
Je me suis aperçue que, malgré mes mises en garde, beaucoup attendent de moi des solutions toutes trouvées, et ne veulent pas faire face à leurs responsabilités. Ils attendent que je les conforte dans leurs décisions, et je refuse de remplir ce rôle. Je ne l’ai d’ailleurs jamais fait. Mais étant donné que ce phénomène est grandissant, je préfère arrêter les frais. Je ne dis pas que je ne compatis pas, je dis que mon rôle n’est pas de tout apporter sur un plateau.

Je me rends compte, aussi terrible que ce soit, que je n’attire plus autant les personnes avec lesquels je souhaite travailler. Ma compassion m’a menée tout droit vers des partisans du moindre effort. Je comprends qu’on puisse ne pas vouloir travailler sur soi, je n’ai rien à redire à ça et je ne peux pas lutter contre.
Mais moi, je ne veux accompagner que ceux qui veulent vraiment avancer et travailler dur. Sur eux-mêmes, leur vie, leurs relations. Pour ceux qui ont déjà compris et accepté que ce qui se passe dans leur vie doit être amélioré, parce qu’ils ont su se regarder avec honnêteté, et non pas avec ceux qui prétendent s’être regardé.
Ce que je vais dire est très dur : Je veux travailler avec ceux qui en veulent. Même s’ils démarrent au ras des pâquerettes, peu importe et au contraire même, je vais être directe : Malgré la merde, ils ont décidé. Ils ont choisi. Ils ont décidé que c’était fini d’être au fond du trou. Que maintenant, la vie leurs appartenaient. Ceux là me fascinent, me touchent, me donne envie d’être là, de me battre avec eux, ils m’intéressent, ils sont des leçons de vie à eux tous seuls. Et je suis prête à courir aussi longtemps qu’il le faudra à leurs côtés.
Les autres… Ne m’évoquent rien. Parce que je ne peux rien faire pour eux, finalement. Parce qu’ils sont sourds et aveugles. Parce qu’ils ne veulent pas. Parce qu’ils choisissent, consciemment ou non, la facilité, le confort qui n’en est un qu’en apparence. Donc, aussi cruel que ce soit : Ils ne m’intéressent pas. Ce qui fait qu’ils ne m’intéressent pas, ce n’est pas leurs personnes, en tant qu’individus. C’est que je sais que je serais là pour rien. Et être à leurs côtés m’empêcherai d’être là pour ceux qui veulent et à qui je serai vraiment utile, et je le refuse catégoriquement.

Je vais donc être beaucoup plus ferme dans mon travail. Parce que c’est ce que je dois faire pour attirer les gens qui veulent vraiment travailler.

On attire toujours ce qu’on est. Et il est temps que je rectifie le tir.

Ce qui change :

Toutes les prestations de voyance ont été supprimées, sauf deux.

  • La consultation Skype.
  • Le Tirage Caché et Révélé (que je me suis appropriée et que j’ai grandement amélioré)

Ces consultations, que j’appelle désormais guidances pour que ça parle à tout le monde même si je maintiens que ça reste du domaine de la voyance, sont désormais réservables, le lundi et mardi uniquement et sont en quantité limitées. Elles vous sont envoyées sous 24/48 heures, après réception de vos paiements et informations nécessaires au travail que je dois effectuer.

Exemple : Vous commandez un tirage le lundi, vous le recevez le mardi ou le mercredi.

Travailler de cette façon me permet de pouvoir travailler sur chaque prestations sans stress, et sur mes autres projets, pour l’instant secrets.

Elles consistent désormais non pas à répondre à une question fermée, mais à vous répondre d’une autre façon. Il s’agit de vous permettre ce comprendre quoi travailler, quels blocages vous avez, afin d’obtenir ce que vous voulez. Le travail sur soi, son acceptation et sa pratique, seront essentiels pour l’obtention des résultats. Sans ce travail personnel, vous n’aurez rien de ce que vous attendez.

Attention : Les fiches téléchargeables contenant les instructions, qui sont très simples, sont vraiment à consulter.

Parce que je suis votre coach, pas votre maman. Je ne prépare pas le goûter et ne fait pas de bisou sur le nez, en vous disant que ne rien faire n’est pas grave.

Je ne vous rappellerai donc JAMAIS de m’envoyer vos informations. Si vous n’avez pas vos résultats, c’est que vous n’avez pas fait votre part, à savoir lire, dans un premier temps. Mauvais départ….. TRÈS mauvais départ.

Sachant que les consultations sont dues en intégralité et non remboursables, comme la loi m’y autorise…. Ça invite à la prudence et au sérieux, je pense.

Ce qui ne change pas.

  • Les prestations de médiumnité restent intactes (Aide concernant les défunts, développement des capacités psychiques, etc).
  • Les formations restent également (Formations Tarot, oniromancie, oracle de la triade, etc).
  • Les blogs, le podcast continuent de fonctionner comme avant, avec les mêmes partages.

Ces prestations sont en libre accès et limitées en quantité.

Pour finir….

Si jusque là, j’ai accepté de me justifier sur certains de mes choix, sachez que je l’ai fais aimablement, mais en respirant profondément. Je ne prendrais plus la peine de respirer profondément.

Lorsque quelqu’un fait un choix pour SA vie, SA carrière, je ne me permets pas d’aller lui expliquer en quoi ça ne ME convient pas, parce que je n’ai pas à le faire. Si je l’ai déjà fait dans le passé c’est vrai, je ne le fais plus. Chacun sa vie. Si quelqu’un fait des choix qui ne me conviennent pas, bien je me contente de le laisser vivre et de m’en aller, parce que je n’ai aucun droit sur sa vie, ni d’essayer d’aller semer le doute sur des choix qui ont été très certainement très difficiles pour lui ou elle et dont j’ignore tout.

Aucunes des décisions que j’ai prises récemment, n’ont été faciles pour moi. Aucunes.

J’aurais pu rester dans mon petit « confort » et continuer de plaire à ceux et celles qui attendent quelque chose de moi. Sauf qu’il n’y a pas d’attentes à avoir. Je n’ai pas à être le reflet de ce que les autres veulent voir. Je ne peux pas être tenue pour responsable de l’image qu’on se fait de moi, basée sur des choses qui n’existent pas.
Je fais mes choix en tout état de cause. Pour des raisons qui me sont essentielles. Que ça ne parle pas à tout le monde, ça je peux tout à fait le comprendre, c’est même assez normal. Mais qu’on vienne me demander de me justifier, ça je ne le comprends ni ne l’accepterai plus.

Je pense, d’ailleurs, ne jamais m’être retenue d’expliquer mes changements. J’ai toujours averti et expliqué. Si je ne dis rien de plus que ce qui est dit ou écrit, c’est que j’estime ne pas avoir à le faire.

Travailler avec moi va être désormais beaucoup plus dur. Mais c’est pour le meilleur.

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